Libérons les espaces et connectons-nous à nos positions les plus basses. Libérons les connexions de ce passé qui nous rattrape. Je t'aime Ericsson et je te rattrape dans la course à l'élection du plus moribond. Je te dois dans l'abandon. Je m'abandonne à tes sempiternels blasphèmes. Je redore ton blason Je suis sans la cédille du plus fort qui fourmille. Je suis sans la cédille de la raison du plus con. Je suis dans l'illusion des maîtres sans façon..
Petite cerise confite pour son prochain. Dis, à quoi sers-tu dans l'instant présent ? A te débarrasser de tes escarcelles, de tes innombrables pixels en devenir sur la planète des maudites filles par leurs petites dînettes ? Tu ne vas pas exploser tu vas imploser devant toutes ces bassesses et ces lunettes arrières qui te font mettre la tête à l'envers. Tu es confite dans ton enfance et dans ton adolescence et tu te confonds en excuses sans être jamais passée par la case adulte. Tu n'es que cette toute petite fille qu'on a ramassée à la pelle de l'hiver, dans sa peine et dans son chagrin. Tu n'es...
A vos risques et périls comme on dit par chez moi. Il ne m'en fallait pas plus pour ourdi un stratagème qui ferait revenir les âmes errantes dans mon droit chemin. Elles errent et elles divaguer. Elles errent et elles comptent le pourcentage de leurs actions dans le lointain qui ne touche pas au divin. Ces âmes là s'entichent de n'importe qui n'importe comment. On ne revient pas à sa porte. On repasse par chez moi pour dire où tout cela va. Il faudrait qu'elles assurent dans l'azur.
Où est la sécheresse ? Où est la sécheresse de ces cœurs que rien ne pourrait avoir, ou presque ? Pourquoi avoir besoin du passé pour se remémorer que tu l'avais trouvé beau ? Que tout cela est inquiétant, ces souvenirs du passé qui reviennent comme un boomerang Où tu t'étais laissée avoir par une belle thrombose avant que tout ne t'indispose. Tu l'avais trouvé à ton goût et tu lui aurais bien fait un bisou dans le cou. Aurais-tu imaginé que c'est cela qui t'empêche d'embrasser d'autres hommes dans le cou avant que tout ne soit fliqué ? C'est sur que tu l'aimais bien, celui qui t'a hypnotisée à...
Tu les as vues ces cavités ? C'est comme des croûtes sur le grain de ta peau. C'est de l'isorel qui isole mais ne permet pas de dormir au fond de soi-même. Moi, je t'aime depuis le fond de moi-même, dans cet isolement qui me sied. Je pense tout le temps à toi. Pourrais-tu penser à moi ? Ah oui mais c'est vrai. Tu ne me connais pas. Pourrait-on se connaître ? C'est une idée que je lance là dans les vapeurs d'internet. C'est du numérique, accroche-toi Éric. Oui Je te vise la cheville. Organisons une rencontre fortuite. Et si c'était au bistrot ? C'est peut-être un peu trop tôt. Il faut qu'on soit...
As-tu vu cette lune à Pampelune ? As-tu vu ce ciel qui est si près de toi ? Allez, prends moi dans tes bras, que je me réchauffe en toi. J'ai envie d'un bon bain de soufre. Crois-tu qu'on en souffre ? Crois-tu que l'anguille est bonne fille à laisser passer son chemin à des malandrins ? Moi je ne crois qu'en des puissances, qu'en des puissances de tes yeux qui crient désobéissance et régime teigneux. Oui, tu es un teigneux. Je vois clair en toi. Tu es un teigneux et tu n'intimides que moi. Quelle est cette opposition ? Quelle est ta position dans ce camp retranché avec Agamemnon ? Je suis Iphigénie...
Oui tu étais là, bien avec moi. Je n'osais rien dire tellement tu avais la tête embrumée par le baise main que tu avais fait à l'autre. Tu t'embues encore la tête avec ces choses là, ces toutes petites choses là qui sont contraires avec la réalité de tout un chacun. Tu conviendras qu'il est mieux de faire un pince doigts plutôt qu'un baise main qui n'est pas de bon aloi. Oui il vaut mieux se pincer les doigts avec des castagnettes plutôt que se rincer les mains avec des noix. C'est plus sain et ça ne mange pas plus de pain que ça mon pauvre garçon qui est pris entre deux frites. Oui, tu as deux...
Tiens, je crois que je t'ai vu là la semaine dernière. Ou c'était peut-être en face, là où il y a de la picrate de pirate. C'était peut-être toi, mon promis, ou c'était peut-être mon père. Je ne sais pas à qui je m'adresse si c'est à toi le puni de l'ivresse ou si c'est à dieu le père. Tout est possible, tout est dû domaine du possible et du domaine des dieux. Que veux-tu mon vieux. Il faudrait faire des efforts pour être deux. Dans mon cas, ce serait un challenge d'être deux et pas une seule et indivisible. Oui je suis une et entière et pas besoin d'être à deux pour ressentir le chagrin et la...
En chantier, enchantée de ne pas tergiverser et de laisser le vague à l'âme divaguer comme il te plaît. Toi qui n'es pas à moi, fais comme il te plaît de mes amoures sans contours. Fais ce qui te plaît de ces peaux de vache qui ne font pas de fleurs dans le pré. Fais ce qui te plaît de ces amours sans retour.
Très bûcher comme une bûche qui ne scie pas dans le même esprit, une bûche inadéquate une bûche qui laisse coite. Se prendre une bûche comme on prend un essai au rugby, prendre un gadin et regarder le voisin, prendre un gradin et s'en mettre plein les mains. Ne pas regarder ses voisins, ne rien regarder.